Il y a à peine deux mois, les réseaux sociaux et les sites médicaux s’enthousiasmaient pour un nouveau traitement censé rajeunir l’organisme de 20 ans en seulement six semaines. Les publicités affirmaient qu’il était « sûr, testé et approuvé par les plus grands experts ». Mais hier, un rapport d’un groupe de chercheurs indépendants a tout bouleversé.
Selon leurs données, lors des essais cliniques, des modifications irréversibles du cœur et du système nerveux ont été observées chez certains volontaires. De plus, plusieurs patients affirment avoir été contraints de signer des accords de confidentialité concernant tout effet secondaire, sous peine d’amendes importantes.
Un médecin impliqué dans les essais, parlant sous anonymat, a confié : « Nous savions que nous prenions un risque. Mais la société pharmaceutique exigeait que les résultats paraissent parfaits. Sinon, des milliards d’investissements seraient perdus. »
De nombreuses voix réclament aujourd’hui de nouvelles analyses et la publication de toutes les communications entre les développeurs et les autorités sanitaires. Mais les déclarations officielles restent vagues, et la société maintient que « les rares effets négatifs sont liés aux spécificités individuelles des patients ».
Pendant ce temps, le médicament est toujours en vente dans plusieurs pays, et des milliers de personnes commencent chaque jour un traitement sans connaître toute la vérité.