«Des scientifiques découvrent par hasard une molécule qui pourrait prolonger la vie jusqu’à 150 ans»

À la fin du mois de juillet, une équipe de biochimistes européens a annoncé une découverte inattendue : en étudiant des algues arctiques rares, ils ont identifié une molécule capable de ralentir le vieillissement cellulaire de près de moitié.

Baptisée provisoirement Arktis-β, cette substance stimulerait la production de protéines particulières qui « réparent » les zones endommagées de l’ADN et restaurent la fonction des mitochondries — véritables centrales énergétiques des cellules. Les effets ont été observés non seulement sur des cultures cellulaires en laboratoire, mais aussi sur des animaux : les souris traitées avec Arktis-β ont vécu 40 % plus longtemps, tout en conservant une activité physique remarquable jusqu’à un âge avancé.

Les chercheurs affirment que la découverte a été faite par hasard, lors de la recherche de nouveaux anti-inflammatoires. Mais dès les premiers tests, il est apparu que l’enjeu était bien plus grand.

Déjà, les grands laboratoires pharmaceutiques entament des négociations pour commercialiser le produit. Cependant, la communauté scientifique reste divisée : certains y voient une révolution médicale, d’autres redoutent des effets secondaires encore inconnus.

Arktis-β sera-t-il bientôt accessible à tous, ou réservé à une élite ? Ne risquons-nous pas de créer une nouvelle fracture sociale ? Les prochains mois pourraient bien nous apporter des réponses.

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